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Date de création : 08.11.2011
Dernière mise à jour :
13.04.2015
692 articles
Au fin fond de nous même se trouve caché un petit moteur de la vie. Cela s’appelle performance et cela nous pousse à réussir, au mieux, ce que nous entreprenons. Pour beaucoup la performance se manifeste, presqu’exclusivement, en terrain de conquête féminine et c’est là qu’ils redoublent d’effort pour réussir, au mieux, cette passion qui s’appelle amour. Mais l’amour a des contours imprécis et plusieurs entrées et chacun, en son âme et conscience, privilégie celle qui lui semble destinée. On entre en amour, comme en entre en guerre, par une déclaration enflammée, on en sort, rarement, par l’armistice ou la signature d’un acte de paix. La paix en amour, est la paix de l’âme, une fois qu’elle a assouvi son désir. Mais le désir est flamme, et l’on a, rarement, vu les flammes devenir le refuge de la paix. Paix aux âmes de ceux qui ont connu le baptême du feu. Ils sont partis jeunes, sans avoir assouvi leur désir d’amour.
Lorsqu’il est légal, l’amour se termine, souvent, par une guerre sans merci, et l’acte final est, presque, souvent, une vraie déclaration de guerre, et cela porte le nom de divorce et de déchirure. Le butin, lui, porte le nom d’enfants victimes, et ce butin-là, en vrai, ne peut être, réellement, confisqué par l’un des belligérants en guerre, car lui-même est porteur de graines humaines dont le destin est, souvent, de reproduire, à l’identique, le cycle, de l’amour, du mariage au divorce, en passant par la progéniture. On dit que l’enfant est le père de l’homme et, au regard du cycle de l’amour, cela est vrai. Mais que devient la femme de la trilogie humaine ? Est-elle la mère de son enfant, ou son enfant est-il son père, à moins qu’il/elle ne soit sa mère qui en fait le trèfle à quatre feuilles tant recherché.
Le trèfle à quatre feuilles est considéré comme un porte-bonheur. De nombreux bijoux le figurent, car chaque feuille du trèfle a une signification. La première feuille est pour la renommée, la seconde feuille est pour la richesse, la troisième feuille est pour l’amour et la quatrième est pour la santé. Vous comprenez pourquoi le trèfle classique ne porte que trois feuilles, celle de l’amour et de la trilogie. Son homologue à quatre feuilles, ajoute la santé pour conjurer le sort qui guette ceux qui croient pouvoir vivre d’amour et d’eau fraiche, surtout que l’eau est, souvent, source tarie.
Entrez dans la tradition ludique et cherchez, dans votre pelouse, des trèfles à quatre feuilles. Vous aurez plus de chance d’en trouver, normalement, au printemps, car la pousse est plus abondante et la sève, la votre et celle de vos plantes, monte le long du tronc rigide, vigoureux au niveau du gland. Cherchez bien, car pour 10 000 trèfles à trois feuilles, il n’existerait qu’un trèfle à quatre feuilles tant recherché. Parlez de cette légende à vos enfants, pour que jamais elle ne se perde, ils y perdront la santé. Lorsque l’enfant aura grandi, vous pourrez, aussi, lui offrir une Alpha Roméo, haut de gamme, car le trèfle à quatre feuilles en est le signe distinctif. A Roméo il faut bien une Juliette, sinon, où est l’amour ?
Partons dans l’histoire qui en parle par la bouche du Romain Pline l’Ancien. Il nous apprend que le trèfle à quatre feuilles est l’antidote à la morsure de serpents. Eve ne le savait, certainement, pas, sinon nous serions, tous, à l’heure qu’il est, au paradis où le trèfle à trois feuilles n’existe pas. Au paradis, en effet, tout le monde jouit d’une bonne santé et personne ne meurt de vieillesse, ni d’oubli. Au paradis, on n’aurait pas eu besoin de magiciennes, qui utilisent le trèfle à quatre feuilles pour fabriquer des filtres d’amour…
Attention ! Si vous trouvez un trèfle à quatre feuilles et le glissez dans la poche de l’être aimé, il ne pourra vous résister ! Si vous glissez un trèfle à quatre feuilles sous votre lit ou votre oreiller, aucun fantôme ne viendra troubler votre sommeil et vos rêves d’amour ! Il rompt l’influence des mauvais esprits et de ceux des amoureux éconduits. Et puis le trèfle à quatre feuilles est lié à la chance de votre vie. Vous le mettez dans un livre à sécher, il vous portera bonheur toute l’année 2013, placée sous le signe du 13. Ce treize qui porte malheur à ceux qui le prononcent sans avoir lu un seul livre, dans leur vie. Alors, prudence dans le choix de votre livre, préférez un livre où il n’existe aucune page treize, pour ne pas y glisser, par inadvertance, votre trèfle à quatre feuilles, à sécher. Et s’il y a averse, n’en profitez pas pour glisser, dans votre livre, votre linge à sécher. Un livre n’est pas un sèche-linge ni un sèche-cheveux et ce n’est pas au rayon de l’électroménager que vous l’achèterez. Si votre livre parle d’amour, ce n’est pas, pour autant, un sèche-larmes, pour amoureux déçus.
Mais l’amour est multiforme et ne cesse de nous étonner tant on lui trouve, chaque jour, de nouvelles formules et de nouvelles déclinaisons. Depuis toujours, et dans des conditions particulières, l’amour réunit, parfois, des êtres identiques et cet amour n’est pas porteur de fruits, futur butin entre des belligérants en devenir. Cela n’a jamais, vraiment, dérangé personne, qu’en marge du vrai amour, il y ait un amour des identiques pour une passion du corps que l’on a sous la main mais que l’on préfère voir, chez autrui. Mais l’absence de fruits de cet amour a donné lieu à une lutte sociopolitique pour la reconnaissance, à l’acte civil, de cet amour, hors des sentiers battus qui parcourent votre pelouse à trèfle à trois/quatre feuilles. Le mariage homosexuel, puisque c’est de lui qu’il s’agit, devient un argument électoral à partir des années 1990. Le premier pays à autoriser les homosexuels à se marier sont les Pays-Bas, en 2001. Ont-ils la vue aussi basse que leur territoire gagné sur la mer ? Toutes les fleurs du monde poussent en Hollande mais pas le trèfle à quatre feuilles réservé à l’homme et à la femme en flammes mais pas à la flemme des semblables qui se contente du trèfle à trois feuilles. Car si la Hollande a autorisé leur mariage, c’est, surtout, pour l’adoption. La Hollande a fait des émules et, au 30 décembre 2012, quatorze pays autorisent les couples de même sexe à se marier, dont trois, sur une partie de leur territoire seulement. Les pays ayant accordé un statut légal au mariage homosexuel ont, pour la plupart, également, légalisé l'adoption par les couples homosexuels car il n’existe, nulle part, sur la planète, des trèfles à deux feuilles pour justifier l’union stérile, à deux.
Rassurez-vous, les pays musulmans sont hors course puisque tous, sans exception, y compris la Tunisie, criminalisent ce genre de relations sexuelles et sept, d’entre eux, condamnent à mort les « coupables » de telles hérésies. N’invoquez pas Dieu, dans cette histoire, car la vraie raison est que, le désert de ce monde, ne donne naissance à aucune sorte de trèfle et, dans ces contrées, la science de l’amour est absente, uniquement, pour défaut de germination de cette plante et un peu par manque de livres. Et ce ne sont pas les feuilles mortes qui manquent, car c’est dans ces pays, qu’atterrissent, toutes les pages portant le numéro treize, arrachées des livres, un peu partout sur la planète, par des gueux.
C’est que chez nous, l’amour s’apparente, plus à l’orgie des romains qu’à l’homosexualité des temps nouveaux, quoiqu’en la matière, rien n’est vraiment nouveau. Les anciens grecs, de leur temps, affichaient, sans complexe, haut et fort, leur penchant pour la relation de même nature à laquelle Platon a donné ses lettres de noblesses philosophiques de trèfle à trois feuilles à effeuiller. Les Arabes, de tous temps, sans connaitre Platon, étaient d’accord avec sa philosophie. Ils pratiquaient et pratiquent encore, en cachette, l’homosexualité, surtout, entre hommes, la poussant, dans sa propre logique, jusqu’à la pédophilie. Le mot « Ghoulam » a acquis, à travers les âges, un tel sens péjoratif, qu’il pourrait témoigner, à lui seul, de l’histoire de ces arabes marginaux ( ?) qui lui ont donné droit de cité, y compris en poésie, seul terrain fertile où pousse toute sorte de trèfles, y compris ceux à cinq feuilles, dont je vois parlerais, peut-être, un jour. Aujourd’hui, beaucoup de familles le donnent comme prénom aux garçons. Mais le mot a gardé, depuis « al Jahilya », son sens dévoyé, et c’est dans ce sens qu’il faut comprendre la demande faite par El Hadjaj Ibn Youssef à une poétesse de changer le mot « ghoulem » par un autre, moins impie. El Hadjaj Ibn Youssef était né en juin 661 à Taïf, et mort en 714 à Wasît la ville qu'il avait fondé, sans amour, en 702 en Irak. Il fut gouverneur de l'Irak durant les règnes d'`Abd al-Malik et de son fils Al-Wâlid Ier. Il était connu pour ses talents d'orateur et d'administrateur de tout et de rien. Quand à la poétesse, c’était la célèbre Laila al Akhyalia, classée seconde, parmi les poétesses arabes de la période islamique. Elle était connue pour son amour pour le poète, Thouba Ibn Hemyar et pour ses aventures avec El Hadjaj Ibn Youssef qui l’avait condamnée au mutisme, avant de se raviser, ayant trouvé dans ses poches, le seul trèfle à quatre feuilles, ayant jamais poussé au désert de nos esprits. Son vif esprit ne pouvait plus admettre de couper le son de la poétesse et il changea d’avis, d’autant que cupidon n’était pas loin et ses flèches ne ressemblent en rien à celles de ceux qui s’agitent par terre, frappés à mort par les flèches de l’amour. Dans la mythologie grecque, Cupidon est le dieu de l’Amour et de la puissance créatrice de vos neveux. Mais Dans la mythologie romaine, Cupidon, fils de Vénus, est assimilé au Dieu grec Éros, bien qu’il ne s'agisse plus d'une divinité primordiale, pour l’amour. Sa mère, Vénus, est la déesse de l'amour, de la séduction et de la beauté dans la mythologie romaine. Elle est équivalente à la grecque Aphrodite qui est la déesse grecque de la Germination, de l'Amour. Vous y comprenez quelque chose ?
Non ? Alors parlons de Tanit, une déesse d'origine berbère, reprise par les Phéniciens et qui n’est autre que la Junon des romains. En berbère « Tinit » signifie : la femme enceinte, qui couve sa grossesse, mais l’on ne sait pas pourquoi. A Carthage, Tanit est chargée de veiller à la fertilité, aux naissances et à la croissance devenue nulle de nos jours. Son culte prit de l'ampleur à Carthage où elle était nommée « Oum ». Elle était la parèdre du dieu Ba'al Hammon ce qui veut dire que son culte lui était associé et qu’elle lui était inférieure, sans doute, une forme précoce de complémentarité à l’ancienne, remise, un temps, par nos élues voilées, au goût du jour. Tanit a mis quatre siècles à se libérer de la complémentarité parèdre, pour prendre le nom de Tanit péné Baal, littéralement, « face de Baal ». Mehrzia aura-t-elle, un jour l’audace, de sauter à la face de Ghannouchi, pour devenir Mahrzia péné Ghannouchi, la semi déesse de la constituante du Bardo ? Le signe de Tanit pourrait être un symbole représentant une personne priant, les bras levés vers le ciel. Il semble, aussi, avoir une signification apotropaïque, conjurant le sort contre les amours perdues. On le retrouve très fréquemment sur les stèles carthaginoises et certains voient dans la croix d'Agadez, qui est le symbole touareg du Niger et du Mali, la préservation du signe de Tanit. Chez les anciens Touaregs, cette croix était transmise, de pères en fils, et pourrait symboliser les quatre points cardinaux, car un Touareg a dit, un jour: " Mon fils, je te donne les quatre coins du monde, car on ne peut savoir où on mourra". Sachant que les Touaregs se déplacent en suivant l'eau, on pourrait bientôt la retrouver partout où il y a de l’eau, sur la planète, grâce à AQMI.
Des explosions ravagent l'Europe. L'Assemblée nationale à Paris, la célèbre tour de Big Ben à Londres, la Commission européenne à Bruxelles sont touchées... Face à ce déluge, aucune revendication mais un suspect que tout accuse, Tommaso Mac Donnell, un jeune archéologue. Traqué par toutes les polices européennes, il veut échapper à l'engrenage infernal dont il est victime. Investi dans les découvertes sous-marines, il se retrouve impliqué dans des attentats terribles sur des sites célèbres, internationalement connus. Que s'est-il passé pour que cet homme devienne la cible la plus recherchée par les services de police du monde entier? Toujours est-il qu'il est traqué jusqu'à Jérusalem, en passant par les prisons, hostiles, de la CIA. Il y a dans la nature des forces qui nous dépassent de loin. Notre époque l'a oublié, mais les savoirs oubliés finissent toujours par resurgir. Denis Lépée nous rappelle, dans son bestseller : «L’Ordre du Monde » que, plus que le nombre d'or, le signe de Tanit a influencé l'histoire de l'architecture, superstition ou savoir oublié? Denis Lépée propose une théorie étonnante, sur l'influence du signe de Tanit dans l'architecture des grands lieux de pouvoir de ce monde ce qui pourrait expliquer ce qui s’y passe de nos jours.
Tanit piochée par les carthaginois chez les berbères qui se la réapproprient, en tant que Touaregs, au Niger et au Mali, pour renverser l’ordre du monde, vous y croyez, vous ? Et au cas où cela serait vrai, ce ne serait pas là, une originale grille de lecture pour le printemps arabe, si dévoyé ? Le World Trade Center, dont les tours jumelles sont intégralement détruites par deux avions détournés le 11 septembre 2001, et dont la position est, depuis, surnommée Ground Zero, se serait-il abstenu d’obéir à la logique de l’ordre du monde pour mériter un tel sort ? Et l’amour, me diriez-vous, que devient-il dans tout cela ? Relisez, si vous avez le courage de le faire, pour retrouver le passage, où ceux qui s’agitent par terre sont frappés à mort par la belle volée de flèches, décrochées par Cupidon. Mettez un grand « T » à terre et vous comprendrez. La prophétie des trèfles à cinq feuilles se réalisera, bientôt.
Tu m'as fais voyager dans un monde où le réel , le rêve et l'illusion ne font qu'un unique univers avec toutes les extrémités inimaginables . En relisant le texte : j'ai pris une over-dose d'espoir que par l'AMOUR on pourra peut être échappé à ce gouffre du trio ignorants ou conscients de nos maux . « T » mérite bien : par son histoire , par ses femmes , par ses hommes , par sa nature ,...ect ; de ne pas s’aligner au nouvel ordre .Ecrire un commentaire