travail vie homme belle femme chez amis monde mort film fille
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Politique (320)
· Culture (282)
nous vendons des cartes clonées fraîches vérifiées mais jamais "utilisées" et faisons des comptes bancaires av
Par Metropolis serenit, le 16.08.2025
nous vendons des cartes clonées fraîches vérifiées mais jamais "utilisées" et faisons des comptes bancaires av
Par Metropolis serenit, le 16.08.2025
nous vendons des cartes clonées fraîches vérifiées mais jamais "utilisées" et faisons des comptes bancaires av
Par Metropolis serenit, le 16.08.2025
nous vendons des cartes clonées fraîches vérifiées mais jamais "utilisées" et faisons des comptes bancaires av
Par Metropolis serenit, le 16.08.2025
nous vendons des cartes clonées fraîches vérifiées mais jamais "utilisées" et faisons des comptes bancaires av
Par Metropolis serenit, le 16.08.2025
· NIZAR KABBANI : « Ne vous en déplaise »
· A la mémoire de DHIKRA, 1ère révoltée Tuniso-Arabe
· Construction d’une tour de plus de 1000m à Djeddah
· Souad Hosni : Cendrillon ou Mata Hari ?
· La lâcheté
· RUSSIE : 5 belles visites virtuelles du Kremlin de Moscou
· L’armée tunisienne est chichement équipée
· CONSTITUTION Graves atteintes à la liberté d’expression (3)
· The Economist : La TUNISIE est une démocratie
· Trois beaux gosses expulsés d’Arabie pour motif de beauté !
· Tunis Air vole plus haut qu'Air Algérie et Royal Air Maroc
· PREDICTION : Il y aura une deuxième révolution en Tunisie
· Egypte : Qui est le général Abdel Fattah al-Sissi ?
· Le trèfle à quatre feuilles
· Procès en France: Khadija Benguenna contre Mezri Haddad (II)
Date de création : 08.11.2011
Dernière mise à jour :
13.04.2015
692 articles
Ali Larayedh n’est pas n’importe qui. Il est, en fait, n’importe quoi et ce n’importe quoi je n’arrive pas à le cerner correctement. Nous autres tunisiens nous détestons méconnaître le titulaire du poste de ministre de l’intérieur de notre pays. Essayons, donc, ensemble, de dresser le portrait robot de M. Ali Larayedh
Sa biographie nous apprend qu’il est né le 15 août 1955 à Médenine. Ingénieur de la marine marchande tunisienne, il est l'un des principaux leaders du parti islamiste Ennahda, qu'il dirige en tant que secrétaire général jusqu'à son arrestation en décembre 1990. Condamné par le tribunal militaire à quinze ans de prison en 1992, il passe dix ans de sa peine à l'isolement (tiens cela me rappelle une autre personnalité « politique » tunisienne). A sa sortie de prison, on le voit intervenir dans de nombreuses émissions politiques sur des médias étrangers, notamment Al Jazeera, avec des contributions axées sur les questions des droits de l'homme. Mais de quel homme s’agit-il ? Lui-même ou bien ses acolytes ? Personnellement, je ne me suis jamais senti concerné par des hommes qui avaient préparé un coup d’état militaire pour le 8 novembre 1987, en totale contradiction avec les droits de l’homme les plus élémentaires.
Après les premières élections « libres et démocratiques » en Tunisie, Larayedh devient ministre de l'Intérieur et prête serment le 24 décembre et entre en fonction le 26 décembre, après passation des pouvoirs avec son prédécesseur Habib Essid.
Retenons donc comme élément important de notre enquête que, Ali Larayedh, exerce aujourd’hui au même lieu qui a vu sa vie basculer à la fin de 1990 ! Il ne faut pas oublier en effet que lorsqu’il a été arrêté le 23/12/1990, Ali Larayedh a été soumis à de très fortes persécutions psychologiques, notamment :
Trucage par les services spéciaux d’une cassette vidéo portant atteinte à son honneur.
Des menaces de mort par injection de produits toxiques.
Des menaces de contamination au sida par transfusion sanguine.
Enlèvement de sa femme Ouided Lagha le 02/06/92 harcelée et abusée sexuellement dans les locaux du ministère de l’intérieur, où elle a été filmée toute nue, ce qui lui a causé une dépression nerveuse (voir rapport annuel de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH), 1999).
Condamné à 15 ans de prison ferme par un tribunal militaire et à d’autres peines diverses, Ali Larayedh a vécu depuis son arrestation en décembre 1990 sous le régime de l’isolement total, essentiellement dans la prison civile du «9 avril» à Tunis. Asthmatique et allergique à l’humidité, son état de santé était préoccupant et s’était dégradé par le manque, voire l’absence de soins. (Source: prison.eu.org. Voir à ce propos l’article de Tunisie numérique : http://www.tunisienumerique.com/portrait-de-ali-larayedh-ministre-de-l%e2%80%99interieur-dans-le-futur-gouvernement/91520
Le résultat est que celui qui occupe, aujourd’hui, les fonctions de ministre de l’intérieur est réellement n’importe quoi ! Mais allons plus loin. Après avoir limogé, le 10 janvier 2012, Moncef Laajimi, directeur général des brigades d'intervention, causant une grève parmi les agents de ces brigades et des appels au retour de Laajimi, Ali Larayedh s’approprie d’office, par une simple circulaire, l’espace public le plus emblématique de Tunisie, l’avenue Habib Bourguiba, à Tunis. Il est le premier à avoir étendu le « territoire » du ministère de l’intérieur à l’ensemble de cette artère ! A ne pas en douter, il y a là une piste à explorer. Il est possible que notre ministre de l’intérieur soit atteint d’un syndrome, c’est-à-dire d’un ensemble de symptômes sans cause spécifique. Un syndrome est différent de la maladie, qui a une cause définie.
Il existe plusieurs syndromes, dont SIX bien cernés, pour qualifier de nombreux comportements, certains syndromes sont pathologiques, d’autres beaucoup plus curieux. Lequel d’entre eux pourrait, éventuellement, s’appliquer au cas Larayedh ? Pour avoir un début de réponse, il est nécessaire de passer en revue ces syndromes.
Le plus célèbre d’entre eux, est le syndrome de Stockholm. En 1973, Jan Erik Olsson braque une banque suédoise, garde quatre personnes en otage et demande la libération d’un de ses amis, emprisonné. Après six jours de négociations, les policiers entrent dans la banque et -surprise !- les otages s’interposent entre Justiciers et braqueurs. Plus encore, ils refuseront de témoigner à charge contre leurs ravisseurs, allant jusqu’à leurs rendre visite en prison. Si vous avez peur d’être touché rassurez-vous, ce syndrome n’atteint que ceux qui ne sont pas au courant. Mais Larayedh connaît-il le syndrome de Stockholm ?
Voyons le second qui en est la « réciproque », c’est-à-dire quand le ravisseur est influencé par ceux qu’il enlève. On l’appelle le syndrome de Lima, d’après une prise d’otages dans une ambassade japonaise au Pérou. Le syndrome de Lima correspond au fait qu'un ravisseur éprouve de l'empathie, ou même une relation fraternelle avec son (ses) otage(s) Voici les faits. Pour meubler le temps, les otages de l’ambassade du Japon au Pérou, parmi lesquels figurent nombre de bonnes « pointures » intellectuelles, ont entamé le dialogue avec leurs geôliers. Des débats autour des thèmes politiques, économiques et sociaux ont été organisés dans une atmosphère décontractée. Otages et guérilleros ont tenté de comprendre le sens profond de leur présence en ces lieux. Un ancien ministre japonais de l'économie a fait un exposé, suivi avec attention par les rebelles, sur le thème : pourquoi le Pérou doit payer sa dette extérieure. Les ravisseurs développent une grande empathie pour leurs otages.
Quant au troisième il est connu sous l’appellation de syndrome de Stendhal. En sortant de la basilique Santa Croce, Stendhal, subjugué par tant de culture, est atteint de vertiges et a le cœur qui bat la chamade. Depuis, son nom est associé à ce syndrome qui correspond à la sensation de tachycardie, voire d’hallucinations, à la vue d’une quantité importante d’œuvres d’art. De la marine marchande à la prison civile en passant par les geôles du ministère de l’intérieur avant d’atterrir sur le fauteuil occupé avant lui par Habib Essid, Je vois mal Larayedh développer ce syndrome réservé aux gens de culture !
Mais il existe une variante religieuse de ce syndrome appelée syndrome de Jérusalem. Ce quatrième syndrome correspond, plus ou moins, à la vision de la lumière, chez celui qui prend une (trop) grosse décharge d’énergie religieuse. Bien entendu, le choix de la ville de Jérusalem n’est pas fortuit, puisqu’il s’agit de la ville regroupant les trois monothéismes. Il y a là une piste sérieuse à creuser pour le cas Larayedh et si cela est avéré, il faudrait se demander jusqu’à quel point la nébuleuse Ennahda en est affectée.
Le cinquième syndrome est celui du Troisième quart. Il désigne la perte de motivation liée au chemin parcouru et l’immensité de ce qu’il reste à faire. Cependant, ce syndrome reste excessivement rare, sauf si vous vous retrouvez enfermé pendant plus de 6 mois dans la même salle, à toujours faire la même chose barbante. Or Larayedh a connu l’isolement pendant dix ans et l’on peut imaginer que durant toute cette période de sa vie il a fait tous les jours la même chose, c’est-à-dire, strictement rien ! Aurait-il développé un hyper syndrome du Troisième quart ?
Reste le sixième syndrome celui du Homard. Ne rigolez pas, c’est sérieux. Pour grandir, un homard doit changer de carapace. Aussi opère-t-il une mue durant laquelle il va se mettre à nu le temps nécessaire à la constitution de sa nouvelle carapace. Le temps de cette transformation comporte une vulnérabilité dont il sait qu'elle est très attendue par ses prédateurs. Pour préserver sa vie durant cette période de fragilité, il va chercher à se mettre à l'abri. La condition de sa croissance est d'accepter de lâcher l'ancienne et trop étroite carapace, pour accéder à sa nouvelle dimension et s'y habituer.
Le processus est inéluctable : la poursuite d'une vie meilleure passe par un temps – dont la durée est d'ailleurs inconnue – de sensations nouvelles entre douleur et plaisir, entre désir/peur de vivre et peur/désir de mourir. Il me semble que l’on est là aussi sur un terrain connu. Ali Larayedh a connu toutes ces sensations, il se pourrait qu’il soit en train de grandir sans savoir comment s’y prendre car il a dépassé l’âge de l’enfance et de l’adolescence. La contradiction est, en fait, en lui. C’est sa marque de destin. La preuve, son nom Larayedh qui signifie « étroit/large » ou « le petit large »
Il est, probablement, à l’étroit dans son ancien costume rayé noir et blanc et voudrait devenir non pas Larayedh, mais Laâridh (Large) pour enfiler, définitivement, le costard du premier flic de la Tunisie nouvelle. En d’autres termes il voudrait passer de XL à XXXL !!
Mais il n’y a pas que ça car en dehors du syndrome de Stendhal, on ne peut pas écarter, d’un revers de main, les autres syndromes. Il ne serait pas étonnant que notre ministre de l’intérieur les a tous développés à un degré plus ou moins pertinent. Il y a là matière à réflexion. Mais je préviens les spécialistes qui ne manqueront pas de rappliquer de tous les coins de la planète pour étudier ce cas unique que je revendique la paternité de ce nouveau syndrome : Le syndrome de Tunis.
Ps : Vous trouverez une belle illustration du syndrome de Lima, combiné avec le syndrome de Stockholm, dans le 19ème film de James Bond, sorti en 1999 : « Le monde ne suffit pas »
Suffira-t-il à Ali Larayedh lorsqu’il aura cessé de grandir ? Il a déjà absorbé l’Avenue Habib Bourguiba… Mais ce n’est là qu’un avant goût de ce qui attend les habitants de cette pauvre planète.
Ali Lâarayedh c'est le frustré de Tunisie, il essayera de tout faire pour prendre sa revanche sur ces Tunisiens qui ont vécu et évolué pendant qu'il croupissait dans les géoles de la prison du 9 Avril, je crois qu'il ne pourra plus jamais être heureux , il se contentera d'essayer de faire du mal aux autres, surtout ceux qui respirent la joie de vivre!!!!
Un ministre, oui mais un malade surtout, un homme qui devrait subir une psychothérapie pour pouvoir se reconstituer car on ne peut pas sortir indemne de 10 années de prison dans des conditions de détention réservées aux plus grands criminels, cellule individuelle exiguë, harcèlement moral et ******!!
http://tunesdidon.centerblog.net
Ecrire un commentaire