Politique

Il y a quelques, temps j’avais proposé de donner le surnom
De MARZABA, à Marzouki l’incompétent.
Je reviens sur ma proposition par respect pour ZABA, le Président.
On ne connait, en effet, la vraie valeur des hommes qu’avec le temps.
ZABA avait tous les défauts du monde, mais il n’était pas con.
Oh non, loin de là, il n’était pas du tout con.
L’on sait au moins, aujourd’hui, une chose, celui qui avait dit « Jamais deux sans trois » avait raison.
Ce petit pays avait vu naitre la raison (Bourguiba), la déraison (ZABA), voici donc venu le temps de la dérision.
Le fantôme de Carthage occupe le palais de Bourguiba avec 7000 voix au suffrage des citoyens.
Est-ce le pays qui se couvre de ridicule ou celui qui se prétend son Président ?
Où va-t-on de la sorte mes chers concitoyens?
Avez-vous vu une telle mise en scène sur d’autres continents ?
Ou c’est 99, 99 % des voix ou c’est 0,01 pour cent ?
N’y a-t-il pas une autre voix possible pour ce pays peuplé d’indigents ?
Sinon comment appeler un peuple qui après avoir brillé de mille éclats, sombre dans l’inconvenant ?
Sommes-nous, vraiment, tels que nous sommes, si peu, méfiants ?

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On ne cesse de nous parler de la troïka et de ses trois présidents.
On nous la rabâche, si fort, que ça devient, vraiment, lassant.
Après ce qui vient de se passer, au moins l’on sait à quoi s’en tenir, à présent.
Carnassière, l’hydre mange ses têtes secondaires, avec délectation.
Sans doute, si l’on n’y prenait garde, les nôtres de têtes y passeront, avec le temps.
Faut-il laisser cette sale bête, nous obliger à se rendre à ses raisons ?
Les raisons du pire ennemi de la vie et de la raison ?
Il fait fi de ce que vous pouvez pensez et envoie un homme à la mort par pendaison.
Que le Diable l’emporte à la première occasion.
Celle de mars prochain, par exemple, si les tunisiens ont bien compris la leçon.

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Peut-on, encore, appeler un homme, celui-là même qui n’a pas eu raison ?
N’a-t-il pas affirmé que c’est lui qui décide, quand il s’agit de tuer quelqu’un ?
Le voila qui se trompe sur la fidélité de ses vieux copains.
Ceux-là même qu’il a défendus contre la pendaison.
A-t-il, vraiment, eu raison de parler de trahison ?
Qui est le dindon de la farce, s’agissant de trahison ?
N’est-ce pas le peuple, trahi dans ses valeurs et convictions ?
Un monstre nous gouverne et vous êtes complice Mr Le Président.
Cessez vos simagrées, qui n’amusent plus que votre ego gargouillant.
Evitez, à l’avenir, de montrer votre tronche à la télévision.
Je ne suis pas, suffisamment, rapide pour changer de chaine et je vomis tout le temps.
Retenez tout de même que, dans tout le monde, jamais, début et fin de règne ne se sont confondus autant.
Encore un record que l’on doit à votre impatience, Mr Le Président.
Le sang coulait encore que vous vous déclariez, candidat-président !!

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C’était le 18 janvier 2011, vous vous rappelez, Mr l’impatient?
Votre stupidité, nous coûte, aujourd’hui, d’être mis, au ban des nations.
Le simulacre a assez duré Mr Le non président.
Quittez ce rôle, minable, que vous tenez dans le pire navet de la production.
Laissez-nous mener notre barque pour accomplir notre vrai destin.
Nos ennemis, on s’en charge, nul besoin de votre intervention.
Nous avons atteint le fond, avec vous, et on n’ira jamais, plus loin.
Que notre peuple ait produit un minable tel que vous, cela me restera, probablement, sur l’estomac, très, très longtemps.
Qu’il ait pu vous supporter tout ce temps, cela me tuera certainement.
Mais que notre histoire garde trace de votre passage, cela est, vraiment, trop con.
Merde, alors, qu’a-t-on fait au bon dieu pour mériter un tel châtiment ?
Je sais bien que le risque zéro, n’existe qu’en rêve, mais je n’avais jamais été confronté à un tel Accident.
Les ravages sont tels que ce serait un miracle que le pays se redresse, après un tel coup porté à bout portant.

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Vous évitez de vous rendre au sommet de la Terre, prétextant l’insécurité interne, Mr Le Président.
Vous cachez si mal votre jeu si pitoyable et c’est, vraiment, indécent.
Jbali vous demande de garder la maison en son absence et vous obéissez sans demander d’explication.
Vous prenez le risque de fâcher le Brésil pour permettre à ce monstre de se rendre aux funérailles d’un insignifiant.
Et vous osez parlez de la grandeur de cette Nation ?
Qu’avez-vous fait de cette grandeur, face aux autres Nations ?
Vous la foulez aux sabots Mr pitre de salon.
Et vous venez créer la zizanie en prétendant rendre justice à un vieux militant.
Celui-là même qui a voulu mettre le pays à feu et à sang ?
Vous occupez la demeure de Bourguiba, c’est l’insulte suprême à un grand combattant !!
Un vrai combattant qui a toujours su appliquer ses décisions.
Les vôtres de « décisions », qu’en avez-vous fait Mr Le Président ?

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Nous sommes vernis, nous autres tunisiens.
Nos passeports porteront, longtemps encore, la mention d’assassins.
N’avons-nous pas envoyé un homme, se faire tuer, chez les assoiffés de sang ?
Des assassins armés jusqu’aux dents ?
Nous aurions mieux fait de le pendre nous-mêmes, au moins, il n’aurait pas subi le stress et le ridicule du transport à destination.
Transport assuré par des bourreaux, qui se déclaraient, la veille, en matière de droits de l’homme, très compétents.
Là, je suis sûr de votre compétence, oui, assurément.
Il n’ya pas de doute sur la question, chapeau, Mr Le Président.
Nous faire porter le chapeau de votre incompétence, c’est finalement, votre gagne pain.
Un pain, désormais et à jamais, marqué par des traces de sang.
Ces gouttes rouges de vie, qui font perdre la vie à un Voisin. Oui, un Voisin !!Mr Le Président
Venu demander le gite et la protection chez son Voisin !
Que dit notre religion, à propos du Voisin, M Le Président ?
Les Tunisiens, sont, maintenant, vos complices pour avoir transgressé leur religion.
C’est terrible, d’être, à ce point, crétin.
Est-ce de naissance, Mr Le Président ?
Ou une tare due à vos amitiés douteuses, avec le diable bondissant ?
Comique, vous êtes, tragique, sera, pour nous, votre héritage assourdissant.
Quittez la scène et ne revenez plus jamais, Mr Le Président.
Vous pouvez compter sur vos amis pour vous trouver une place dans leur malle à couillons.

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Mes amis, le plus dur est à venir, assurément.
Non, je ne vais pas évoquer, ici, les prochaines élections.
Là, je suis tranquille et l’on saura, j’espère tirer enseignements utiles et bonnes leçons.
Notre Histoire est salie par des êtres maléfiques atteints de déraison
Je ne voudrais pas que l’on enseigne ce dramatique chapitre, à mes enfants.
Je vous demande votre avis pour éviter cette farce, à nos descendants.
Ils nous condamneraient pour les avoir fait naitre avec une si mauvaise marque de destin.
Notre problème est simple et si compliqué en même temps.
Comment allons-nous faire, pour faire retrouver l’anonymat, à ce personnage grotesque, et repoussant ?
Comment lui faire retrouver cet anonymat qu’il n’aurait jamais du quitter à contre courant ?
Comment empêcher que le monde nous classer, définitivement, parmi les singes grimaçants ?
A cause d’un singe babouin, bien, bien différent.
De ce que l’on est et de ce que l’on veut être, pays prospère peuplé d’êtres supérieurs bosseurs et compétents.
Un vrai pays de rêve, peuplé de bons vivants.